“Tu veux quelque chose ?” me demande un.e de mes collègues super sympa.
Je remue la tête comme à mon habitude en répondant “Non merci, c’est super sympa”.
Ca doit faire 15 fois que je répète cette phrase en moins de deux mois.
Tous les jours, je les vois défiler devant cette machine. Un Kinder Bueno tombe. Parfois un Red Bull, parfois un Coca.
Je ne peux que me dire qu’il y a quelques années, moi aussi j’aurais été chercher un ou deux Kinder Bueno par jour : environ 3 euros en tout, soit 15 euros par semaine, dépensés pour ruiner ma santé.
Mais si j’en prenais autant avant, c’est que je n’avais pas conscience de ça. De tout l’impact négatif, délétere, destructeur, que ces choses ont sur nous.
On ne s’en rend même pas compte lorsqu’on en consomme tous les jours et c’est bien normal : comme lorsqu’on ne fait jamais de sport, on ne peut pas en ressentir le manque. On se sent juste fragile, on a mal au dos, on n’a pas beaucoup de muscles pour nous maintenir, et l’énergie manque.
Mais quand on commence à en faire, régulièrement, et que l’on observe les résultats, 5 jours sans sport paraissent très longs. Faire du sport devient alors une hygiène de vie aussi évidente que de se brosser les dents.
Il en va de même pour l’alimentation : lorsque l’on a mangé des choses malsaines toute notre vie, on ne sait pas ce que c’est de :
- Ne plus avoir d’inflammation
- Ne presque plus tomber malade
- Avoir un corps dégonflé
- Plein d’énergie
- L’acné a disparu
- Les hormones se régulent naturellement
- On évite les caries
- Etc, etc… La liste est encore très longue.
Quand on commence à manger des aliments naturels et non-transformés, tout change. Et plus notre corps retrouve (ou trouve, tout simplement) la joie de manger de vrais aliments, moins ils supportent la fausse nourriture (plats préparés, industriels, avec plein de sucres ajoutés, des additifs, etc).
C’est pour ça que je dis toujours “non merci”.
Parce que je sais ce que ça fait de manger un Kinder Bueno. Ce n’est pas juste une barre innocente, qui ne fait pas de mal “une fois de temps en temps”.
Le lait contenu dedans provient d’animaux élevés d’une manière cruelle et intensive. Ils sont bourrés de médocs, séparés de leurs enfants dès qu’ils naissent. Les grosses industries ont besoin des élevages intensifs. Toujours plus de Bueno, toujours plus d’argent.
Le sucre est le deuxième ingrédient, donc ça veut dire que c’est le deuxième plus présent (et il revient à plusieurs reprises dans la liste, d’où le fait que l’on peut vite y devenir accro et être bien énervé si on n’a pas sa dose).
Et on retrouve à nouveau du lait écrémé, puis en poudre. Bref, globalement du sucre et du lait. De mauvaise qualité, hyper inflammatoires.
Pour que vous vous rendiez compte : le sucre et les produits laitiers sont les deux ingrédients que j’avais enlevés de mon alimentation pour guérie de l’acné, d’inflammations chroniques, de SPM très douloureux et d’hypothyroidie d’ashimoto.
Et le Kinder Bueno lui, relance la machine à inflammation.
Je pourrais vous parler pendant des heures de tous les dégâts que peuvent provoquer un simple Kinder Bueno tant il dérégule de choses dans notre corps. Sans oublier le fait que, notre code génétique, on le transmet ensuite à nos enfants. Pourquoi de plus en plus d’enfants naissent avec des problèmes de santé qu’on ne voyait pas (ou peu) avant ? Pourquoi autant de cancers, de leucémie, de problèmes d’hormones ?
Pesticides, produits inflammatoires, stress chronique…
Notre monde actuel ne nous veut pas du bien. Pardon, je reformule : les grosses industries ne nous veulent pas du bien. Ils savent très bien ce que contiennent leurs produits et connaissent les effets sur la santé.
C’est bien pour cela que Nestlé finance des médicaments pour contrer les effets de ses propres produits.
Retrouvez l’article du scandale de Nestlé ici
Dire “non” à un simple Kinder Bueno, c’est dire non à une énorme industrie qui détruit votre santé, mais également l’environnement.
C’est dire OUI à votre santé, votre futur vous, et votre santé mentale. Car quand on mange de la bouse, notre métabolisme est impacté, mais pas que : Intestin enflammé = cerveau enflammé.
Les dépressions peuvent être largement aidées avec une alimentation et un mode de vie anti-inflammatoire.
Capisco ?
Prenez soin de vous.
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